L'armée française intervient au Mali

jcj a parfaitement raison mais j ai eu 1 pense pour les personnels du sirpa qui bien quand 1 ere lignes avec les unites combattantes se battent non avec des armes mais avec des appareils de prise de vues car ce sont des cliches pris par des professionnels alors je pense a eux les invisibles a qui on ne rend pas assez d hommages

Oui, tu as également raison mare nostrum, ils risquent -aussi- leur vie ! Ne les oublions pas.

jcj

Merci mr le comte, mais je ne suis qu'un modeste supporter de cette Grande Armée de France, que d'autres servent au risque de leur vie. Je ne fais que leur rendre Justice.

jcj

Opération Serval : A GAO les FAM repoussent les attaques terroristes

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Le 21 février 2013, le GTIA 2 (Groupement tactique interarmes armé par le 92e RI) est intervenu en appui des forces armées maliennes qui étaient au contact avec des groupes terroristes infiltrés dans la ville de Gao.

En fin de matinée, une trentaine de terroristes s’est infiltrée en ville. Immédiatement les forces maliennes du Colonel Major Dacko, les forces de gendarmerie et la Garde Nationale bouclent les abords de l’îlot administratif, cœur de la ville où se sont rassemblés les terroristes. Après quelques échanges de tirs et une explosion, les groupes terroristes se retranchent dans la mairie.

La QRF du GTIA 2 composée d’une section de VAB, de trois compagnies VBCI et de deux hélicoptères gazelle du groupement aéromobile est mise en alerte, aux ordres du colonel Bert, chef du GTIA 2.

A la demande des autorités maliennes, la QRF s’engage et se positionne aux abords de la mairie. La compagnie VBCI est engagée et ouvre le feu avec tous ses armements : canon 25mm, AT4, ALI, Eryx, et appuyée par 2 gazelles du groupement aéromobile, qui tirent un missile HOT sur une position terroriste.

Pris sous les feux maliens et français, quelques terroristes tentent de s’exfiltrer par les berges du Niger. Le bouclage de la zone le long du fleuve Niger a été mené conjointement par les français et les maliens et a permis de neutraliser une dizaine de terroristes.

Dans la Mairie, les forces armées maliennes neutralisent le dernier bastion de terroristes portant des ceintures explosives. Un élément du génie français est intervenu afin de désamorcer les charges explosives. Au cours de cette action, deux soldats français ont été très légèrement blessés.

Parallèlement, au cours de la journée, le check point aux sorties Nord de la ville de Gao a été défendu par des éléments nigériens alors qu’ils étaient harcelés par des tirs sporadiques de groupes terroristes tentant de s’infiltrer. Une compagnie sur VBCI appartenant au GTIA 2 et une patrouille Gazelle du Groupement aéromobile (GAM) qui a délivré un appui feu missile ont appuyé cette action. Deux terroristes ont été tués.

En fin d’après-midi la situation était redevenue calme dans la ville de Gao. La QRF du GTIA 2 a regagné l’aéroport.

Au bilan, cette opération aura permis aux forces armées maliennes de montrer leur détermination, si besoin était, à protéger la ville et sa population des groupes terroristes. Elle démontre également la volonté de l’ensemble des acteurs présents sur le sol malien à démanteler les groupes terroristes. Cette action a permis la neutralisation de plus d’une quinzaine de terroristes. Quatre soldats maliens auraient été blessés.

Crédit photo : ECPAD / EMA


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Serval : A Gao, les FAM repoussent les attaques terroristes

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Le 21 février 2013, le GTIA 2 (Groupement tactique interarmes armé par le 92e RI) est intervenu en appui des forces armées maliennes qui étaient au contact avec des groupes terroristes infiltrés dans la ville de Gao.

Crédit : EMA / ECPAD

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Serval : A Gao, les FAM repoussent les attaques terroristes

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Crédit : EMA / ECPAD


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Serval : A Gao, les FAM repoussent les attaques terroristes

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Serval : A Gao, les FAM repoussent les attaques terroristes

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Crédit : EMA / ECPAD

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Le 17 février 2013, un fantassin est posté le long du fleuve Niger à Bourem. Il a pour mission d’appuyer sa section qui remonte le cours du fleuve pour assurer la sécurité des alentours de la ville de Bourem, à l’Est de Tombouctou.

Crédit : EMA / ECPAD

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Le 19 février 2013, dans la caisse de VAB d’un groupe génie engagé dans l'opération "panthère 4". Il est à peine 13 heures mais depuis la veille, ces soldats de la force Serval sont déployés dans la région sud de Tessalit (Nord mali) pour conduire une opération de ratissage et de recherche de caches d’armes.

Crédit : EMA / ECPAD

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Petite question qui pourrait paraître déplacée, il fait qu'elle température la bas en ce moment?

Encore de beaux clichés. Merci. Il est à craindre que la guerre ne soit pas éclair.
Pour l'instant ça a l'air de chauffer dans le Nord du Mali. Mais pas d'infos.
On communique peu de la part du gouvernement et des politiques. Et c'est normal.
Faisons confiance à nos soldats (et soldates !) et croisons les doigts pour qu'il y ait le moins de pertes possibles !

jcj

pour la temperature il doit faire bigrement chaud mais il faut quand positiver cette guerre a permis a tout les pays de voire la capacitee de projection de nos forces ansi que les differents materiels pour les industriels cela fait une sacree pub par contre pour les familles voir ses enfants faire le coup de feu ou etre en 1 ere ligne ce n est pas rejouissant meme plutot inquietant meme si elles ne connaissent pas l identite exacte des unitees elles tremblent et je les comprends

Sur cette opération, notre armée a montré des capacités de réactions et de ripostes apparemment de haut niveau. La guerre en Afghanistan a permis à notre armée, d'acquérir une expérience militaire incontestable. Maintenant, reste l'ennemi ? Son nombre, sa puissance d'armement, sa mobilité sur le terrain, le moral des combattants, on ignore beaucoup de ces paramètres. On semble entrer dans la phase "dure", où les combats se déroulent dans des terrains plus accidentés, plus propices aux combats rapprochés et aux accrochages. Et l'ennemi est sur son sol.
Je pense que nos soldats vont devoir faire preuve de qualités individuelles de combat et d'un mental fort, pour affronter un ennemi qui va s'accrocher à chaque caillou de cette terre aride.

Nous sommes avec eux, par la pensée, et par le coeur. Tu as raison mare nostrum, les épouses, les enfants, les familles et les amis de nos gars vivent inquiètes, et on les comprend.
Mais qu'elles sachent que beaucoup de nous sont avec elles par la pensée. Nos gars et leurs familles ne sont pas seuls dans leur combat. Nous ne les oublions pas.

jcj

PAPY GEGE a écrit:

Petite question qui pourrait paraître déplacée, il fait qu'elle température la bas en ce moment?

Selon les villes de une trentaine de °C à 40°C !.....à l'ombre et comme il n'y a pas d'ombre ??

Pffff....J'espère que le ravitaillement en eau suit...!
Ca doit quand même être dur pour nos gars ! Raison de plus pour ne pas les oublier.

jcj

ce qui me fait peur c est l enlisement et plus les combats deviennent ardus plus le nombre des pertes va augmenter je ne compte pas les blesses car eux motus et apres leurs retours elles ne seront plus physique mais morale quoique on peut etre atteint par les deux et la la medecine peut tout est rien a la fois bon courage les gars je suis avec vous c est tout ce que je peux faire

Petite question aux pros des missiles.
Sur une photo du haut, on voit un personnel avec un Lanceur Missile Eryx dans les mains.
Est-ce que l'Eryx a été conçu pour détruire un bunker ou un mur en dur par exemple ?
Pour moi l'Eryx est un Missile Anti-Char qui peut aussi détruire un véhicule léger ...

Dans l'Adrar des Ifoghas, les combattants islamistes se sont fait sauter

Plusieurs des 23 soldats tchadiens tombés au combat vendredi dans le nord du Mali ont été victimes de charges explosives portées par des combattants islamistes. Ces éléments ont été confirmés par des sources tchadiennes et françaises.

Toutefois, les détails restent rares. Il semble qu'un groupe de terroristes, capturés par les Tchadiens selon une version ou sur le point de l'être selon une autre, aient collectivement déclenché l'explosion de vestes piégées.

La déflagration aurait tué les djihadistes et plusieurs Tchadiens dont des officiers. De nombreux soldats tchadiens auraient aussi été blessés et certains seraient morts de leurs blessures.

Les forces françaises ont apporté une aide médicale et procédé à des évacuations. Les faiblesses alors constaté des services de santé tchadien ont convaincu N'Djamena d'acheminer des renforts en personnel médical vers Kidal (en revanche, la colonne de renforts qui a quitté Niamey était annoncée depuis plusieurs jours).

Les corps des victimes devraient quitter Tessalit pour Niamey puis N'Djamena où une cérémonie nationale est annoncée.

jcj a écrit:

Pffff....J'espère que le ravitaillement en eau suit...!
Ca doit quand même être dur pour nos gars ! Raison de plus pour ne pas les oublier.

jcj

Bonjour,
T'inquiète ps pour l'eau, j'ai personnellement vu les voyages de palettes de bouteilles d'eau minérale passer à Dakar

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:

jcj a écrit:

Pffff....J'espère que le ravitaillement en eau suit...!
Ca doit quand même être dur pour nos gars ! Raison de plus pour ne pas les oublier.

jcj

Bonjour,
T'inquiète ps pour l'eau, j'ai personnellement vu les voyages de palettes de bouteilles d'eau minérale passer à Dakar

Tu es de la logistique ?

Forces Spéciales en patrouille !

Crédit : EMA / ECPAD

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Le 21 février 2013, ces deux soldats de la force Serval prennent « une photo » d’une des ruelles jouxtant la mairie de Gao. Le soldat en appui sur ses jambes, soutenu à couvert par son camarade, va observer pendant une courte seconde l’action qui est en cours dans la rue. Depuis le matin, les forces maliennes bouclent le cœur de la ville de Gao où une trentaine de terroristes se sont retranchés dans la mairie. En coordination avec les forces maliennes, la QRF du GTIA 2 stationnée sur le bivouac de Gao s’engage et se positionne en appui aux abords de la mairie.

Crédit : EMA / ECPAD

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Le 21 février, il est 17h30 à Gao. Un sapeur du GTIA 2 vient de neutraliser la charge explosive qu’un suicide bomber portait en ceinture. Depuis le matin, les forces armées maliennes tentaient de neutraliser des terroristes retranchés dans la mairie de Gao. Le danger écarté, un élément du génie français est intervenu afin de désamorcer les charges explosives.

Crédit : EMA / ECPAD

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Opération Serval : point de situation du lundi 25 février 2013

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Point de situation sur l'opération Serval du jeudi 21 février 18h00 au lundi 25 février 2013 18h00

Les opérations aériennes se sont poursuivies, notamment dans la région de Tessalit avec près d’une centaine de sorties. Une quarantaine de sorties a été dédiée aux frappes aériennes permettant la destruction d’une dizaine de dépôts logistiques et d’une dizaine de véhicules. Le reste des missions s’est répartie entre le soutien des opérations et le transport de nos forces et de nos matériels.

Deux avions ravitailleurs C135 français sont désormais déployés sur l’aéroport de Bamako permettant de faciliter le soutien des opérations aériennes.

A Dakar, l’EIDER a effectué une nouvelle rotation. Il est arrivé en fin de semaine dernière avec son bord du fret au profit des forces déployées dans l’opération Serval. Il est le troisième navire affrété à accoster sur les côtes sénégalaises depuis le 11 janvier 2013. Ces affrétés ont été escortés par des bâtiments de la Marine Nationale, qui depuis le départ fourni un appui important à l’opération malienne.

Au sol et depuis le 18 février les forces françaises, maliennes et tchadiennes sont engagées dans la région de Tessalit où elles poursuivent leurs opérations offensives qui visent à désorganiser les groupes terroristes et à démanteler leurs sanctuaires.

L’engagement combiné de nos forces a permis de détruire trois véhicules et de neutraliser une vingtaine de terroristes.

Parallèlement, le 22 février, les éléments tchadiens ont pris à parti des groupes terroristes. Immédiatement, ils ont reçu l’appui des aéronefs français sur leur zone d’opération. Pendant plus de 24 heures, les avions de chasse français se sont relayés afin d’appuyer l’avancée des troupes au sol.

Les tchadiens ont annoncé avoir neutralisé plus de 90 terroristes lors de cette action offensive très déterminée. Ils ont également annoncé avoir perdu 23 des leurs. Plusieurs de leurs blessés ont été évacués par les hélicoptères du GAM vers l’antenne chirurgicale avancée de Gao pour y être soignés.

Dans la région de Gao, après les échanges nourris du 20 février et quelques actions de harcèlement les 21 et 22 février de la part des groupes terroristes, la situation reste sous contrôle grâce à l’action combinée et coordonnée des forces armées maliennes, des forces africaines de la zone (nigériennes) et des français. En présence du CICR et de médecins du monde, les forces armées maliennes ont remis à l’hôpital de Gao les 3m3 de médicaments repris aux groupes terroristes au cours des opérations de la semaine passée.

Le 22 février, après des tirs de 3 roquettes de type BM21 depuis la périphérie de Gao, les forces armées maliennes appuyées par des éléments français ont reconnu et nettoyé la zone périphérique, ainsi que celle du centre ville.

Le 25 février, à Gao, des reconnaissances au nord de la ville par le GTIA 2 ont permis la découverte d’une trentaine de roquettes de 122 mm et des grenades à main de différents types dont une était piégée.

Enfin, les forces armées maliennes se dotent d’une capacité fluviale, avec l’arrivée de deux vedettes rapides permettant la navigation sur le fleuve Niger, et la sécurisation des berges.

Ce sont près de 4000 militaires français qui sont déployés au Mali. A leurs côtés, près de 5800 soldats des forces africaines (MISMA et tchadiens) et les forces armées maliennes complètent ce dispositif afin de permettre au gouvernement de recouvrer son intégrité territoriale, de désorganiser les groupes terroristes et démanteler leurs sanctuaires.

Crédit : EMA / armée de Terre

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VBL au ravitaillement.

Crédit : EMA / armée de Terre

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Les photos que l'on nous donne de cette guerre au Mali, sont des photos sélectionnées.
La réalité du terrain, nous savons qu'elle est dure, mais rien ne nous est véritablement révélé. Et c'est normal, cela pourrait nuire à nos soldats, et à leur action et à leurs...vies.
Satisfaisons nous donc, de ces clichés un peu trop neutres, et des commentaires laconiques, nous connaîtrons plus tard, ou...jamais, ce qui s'est passé dans ce désert et ces montagnes arides d'Afrique. Perso, je pense que nous nous attaquons a une nébuleuse criminelle, qui se vengera des pertes en hommes, apparemment conséquentes dans ce conflit, par des actes d'enlêvements ou de de kamikazes contre la population civile. Et même si nous gagnons sur le terrain, le combat contre le terrorisme religieux n'est pas encore fini.
J'ajouterais que je suis étonné que les pays européens ne se soient pas ouvertement engagés à nos côtés. La solidarité européenne s'arrête-t'elle aux aides financières, et aux interventions dans l'économie et la vie sociale et politique ???
En attendant, nos "p'tits gars" font leur devoir, et ils le font bien. Soyons avec eux !

jcj