Honte ! [pillage du patrimoine militaire]

Un canon du 19e siècle volé aux Invalides

La police a ouvert une enquête la semaine dernière après le mystérieux vol d'un canon du XIXème siècle qui était entreposé dans une galerie de l'hôtel des Invalides à Paris, a-t-on appris de source policière jeudi.
Le vol a été signalé il y a une semaine par les responsables de l'hôtel. Il aurait été perpétré entre le 15 et le 21 mars au premier étage de l'hôtel des Invalides (Paris VIIème) où est situé par ailleurs le musée de l'Armée, a précisé la source confirmant une information du Parisien. Le canon, apparemment scellé au sol, mesurait un mètre et pesait une cinquantaine de kilos.
La brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne a été saisie de l'enquête
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Après le vol, fin mars 2011, d'un canon du XIXème siècle à l'hôtel national des Invalides; nouvelle affaire:

"Plouescat (Finistère). Les canons du monument aux morts ont été volés

Le vol remonte à la nuit de mardi à mercredi (avril 2011). Les deux canons-en fait, des lance-roquettes anti-char -qui encadraient le monument aux morts du cimetière de Plouescat ont été dérobés. D'un poids de 150kg chacun, ils étaient fixés au monument par une chaîne que les malfaiteurs n'ont eu aucun mal à décrocher. Méfait d'un collectionneur ou d'un récupérateur de métaux? Acte gratuit? Pour l'heure, les gendarmes de Plouescat tentent toujours de répondre à ces questions"
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Attention danger

Le 5 juin 2009, le canon installé devant le monument aux morts de la commune de Sivry (Meuse) a été volé.

Le 12 avril 2011, les deux lance-roquettes anti-char d’un poids de 150kg chacun qui encadraient le monument aux morts de Plouescat (Finistère) ont été volés.

Un mois plutôt, un canon du XIXème siècle de 50kg installé aux Invalides a été volé.

Les vols des pièces militaires et de plaques commémoratives se multiplient. Les cimetières et les monuments aux morts ne sont plus des sanctuaires inviolables.

Cette « dé-sanctuarisation » est la conséquence de deux mouvements de fond – la montée foudroyante du coût de la tonne de cuivre (3 350 dollars en janvier 2009 – 9 200 dollars en avril 2011) et l’explosion du coût des souvenirs de la Grande Guerre.

Il y a désormais un grand danger de voir disparaitre dans toutes les communes de France les plaques de bronze ou émaillées et les pièces militaires qui sont présentes sur les monuments, stèles et cimetières de nos communes.

Face au danger, il faut réagir.

Premièrement en recensant avec précision tous les éléments qui peuvent être volés, deuxièmement en organisant la surveillance de ces éléments.

Le département de la Meuse prépare à cette fin un programme expérimental pour faire face au danger.
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Nouvelles profanations de monuments aux morts

Feuchy (62) : la statue en bronze du monument aux morts volée cette nuit

Ce vendredi matin 23 décembre, les habitants de Feuchy ont découvert avec stupeur que la statue en bronze du monument aux morts avait été volée. Il s'agissait d'une oeuvre réalisée par le sculpteur lillois Jules-Déchin, qui s'était servi de sa fille comme modèle pour représenter la patrie.
L'oeuvre, lourde de près de 400 kilos, avait été rénovée en 2004. Elle rend hommage aux enfants de Feuchy morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale.
« Franchement, on est dégoûtés, témoigne Michaël Machan, le maire de la commune. Ce monument a une histoire. C'est écoeurant ». De son côté, son épouse Aurélie, présidente de l'association patrimoniale de Feuchy, Au Fil du Temps, est aussi très peinée : « On se demande où on va. Cette statue faisait partie de nos racines ».
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie et des analyses scientifiques sont en cours.
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Bucquoy (62): la statue en bronze ornant le monument aux morts a été volée

Du haut de ses deux mètres et quelques, elle signifiait depuis l'après Première Guerre mondiale le respect et le recueillement dus au sacrifice des soldats,
de Bucquoy et d'ailleurs, morts pour la France. La gracieuse statue féminine drapée dans la douleur éternelle a été enlevée de son socle, le monument aux morts de la commune, pendant la nuit de jeudi à vendredi, victime de la rapacité de voleurs appâtés par le gain espéré de sa revente, ou sa refonte.
Au matin du 2 décembre, c'est un employé communal qui s'est le premier aperçu de la disparition de cette belle dame métallique qui trônait aux pieds d'une mairie actuellement en rénovation. Les malfaiteurs ne se sont pas gênés pour écarter les barrières défendant l'accès au monument aux morts si proche des travaux, et déboulonner la statue. Sans doute leur repérage leur avait-il permis de penser que leur vol nocturne n'aurait pas trop de témoins, étant donné que les trois immeubles faisant face au monument sont libres de tout habitant. Et dans leur hâte de faire sortir la statue de ses deux ergots à vis, les malfrats ont écorné le dernier signe de reconnaissance envers les morts, une branche de lauriers également en bronze, symbole des vertus militaires dans le langage de la statuaire.
Le maire de Bucquoy, Pierre Colle, premier prévenu, a été sidéré par ce vol qu'il qualifie de honteux. Il a déposé plainte. L'enquête a été confiée à la gendarmerie de Foncquevillers.

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Xave, très énervé !

Feuchy : la statue du monument aux morts volée a été retrouvée

Bonne surprise pour le maire de Feuchy (dans l'Arrageois), Michaël Machan, et ses administrés. La statue du monument aux morts, dérobée dans la nuit du 22 au 23 décembre, peu avant Noël, a été restituée ce mardi après-midi à la commune par les enquêteurs de la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ).

L'oeuvre du statuaire lillois Jules Déchin, dessoudée en pleine nuit, a été découverte hier après-midi, légèrement dégradée dans un champ de Toufflers, près de Roubaix, et manifestement déposée là à la hâte.

Cette saisie d'oeuvre volée fait suite à une quinzaine d'autres perquisitions, menées dans le cadre d'une vaste affaire de trafic d'objets d'art ou religieux. Jeudi dernier, une équipe de trois personnes avait été démantelée par la PJ, en lien avec plusieurs unités d'intervention, après un long travail d'enquête. De nombreuses investigations et vérifications sont d'ailleurs en cours, notamment pour identifier les objets et déterminer les victimes. D'ores et déjà, des objets volés à la cathédrale d'Arras et un tableau de l'église de Ferfay (près de Bruay) ont été retrouvés.

Ce mardi après-midi, le maire de Feuchy était évidemment soulagé, satisfait, et reconnaissant du travail d'enquête et de la médiatisation de l'affaire par La Voix du Nord. « Je vous remercie, c'est vraiment de la joie aujourd'hui, surtout que la statue n'est pas détruite, témoigne M. Machan, qui craignait que l'oeuvre ornant le monument aux morts ait été dérobée par des voleurs de métaux. J'ai appris sa découverte hier soir. On a du coup envoyé une camionnette et quatre agents des services techniques pour emporter la statue ».

Il faut dire que cette statue pèse tout de même 400 kilos pour 1,70 m de hauteur.

Cette bonne nouvelle devrait être célébrée prochainement dans ce petit village de l'Arrageois, qui a redécouvert ainsi la valeur de l'oeuvre et surtout sa symbolique, puisqu'elle honore le souvenir des enfants de la commune tombés pendant la Première Guerre mondiale. « Pour mes voeux aux habitants le 13 janvier au soir, la statue sera à mes côtés, confie M. Machan. Cela donnera l'occasion aux gens de venir la voir. Une cérémonie sera organisée prochainement avec les anciens combattants et les enfants de la commune. Mais comme elle est un peu abîmée, on va d'abord s'occuper de sa restauration."
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Qui a volé le char Panhard de Xouaxange ?


Un char construit dans les années 50, qui avait été installé par l'armée sur un sentier près de Sarrebourg, a été dérobé par de mystérieux malfaiteurs.
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Depuis des décennies, les nombreux randonneurs du sentier des Hauts de Lorquin, à Xouaxange, près de Sarrebourg, étaient sous la protection d’un étrange gardien. Un ancien char Panhard construit dans les années 50 avait été laissé près du sentier par l’armée, sur un terrain militaire. Démantelé, l’engin blindé de reconnaissance servait à la formation des jeunes recrues. Mais depuis quelques jours, le mastodonte de ferraille a disparu. Un vol sur lequel plane le mystère le plus complet…

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Il y en a qui ont fait fort, faut y aller pour voler un engin blindé EBR (et non char) ...

VERDUN : LA VOIE SACRÉE PROFANÉE

Un massacre. C’est au sacré que l’on vient d’attenter. C’est presqu’une profanation, tant ces bornes sont symboliques. Surtout l’année du centenaire de la Grande Guerre. Derrière ces blocs de béton rouge et blanc surmontés d’un casque orné d’une couronne de laurier se cache toute la souffrance des soldats de la bataille de Verdun. Par-delà l’asphalte et la circulation routière, on sent encore la poudre des combats, la sueur des soldats montant au front et le sang de ceux qui revenaient de l’enfer. On entend encore le bruit des moteurs des camions amenant hommes, munitions et matériels. C’est grâce à ce cordon ombilical tendu entre l’arrière et l’enfer que Verdun a tenu. Tout un symbole !

On attribue à Maurice Barrès, la création du nom « Voie sacrée ». Mais si c’est en 1923 que le terme est finalement entériné, c’est le président Poincaré, un Meusien, qui inaugura le 22 août 1922 la borne « 0 » de cette route. La cérémonie eut lieu à Bar-le-Duc.

Le casque à l’origine en bronze a été remplacé depuis longtemps par des casques en laiton dont la patine rappelle l’original. Des bornes qui avaient été restaurées l’an passé par le conseil général de la Meuse. Centenaire oblige. Mais des bornes qui avaient toutes été vandalisées au cours des décennies. La dernière fois, c’était il y a une dizaine d’années. Les casques avaient également été dérobés.

Pourtant, le système de fixation du casque à la borne avait été sécurisé afin, justement, d’éviter ce genre de méfait. Mais le ou les malfaiteurs se sont acharnés et sept bornes ont subi ces outrages entre les communes des Souhesmes et de Heippes, en passant par Lemmes et Souilly. Aucun autre fait de ce type n’a été signalé sur le Sud meusien.

Des casques en laiton…

Ce sont donc des casques en laiton, sans grande valeur marchande, que le ou les vandales ont dérobés, sans doute dans la nuit de lundi à mardi. En tout cas, pas avant lundi en fin d’après-midi, puisque les services du Département qui étaient en train de faucher les accotements de la Voie sacrée, n’ont pas remarqué ces dégradations.

Ces malfaiteurs ont sans doute agi en employant une sorte de masse ou un objet lourd et contondant. En témoignent les traces profondes qui ont marqué le métal sur un casque qui a subi ces chocs sans pouvoir être arraché. Cette borne est située à quelques kilomètres de Souilly en direction de Bar-le-Duc au niveau d’une aire de stationnement. Deux autres casques ont subi les mêmes dégradations.

Sinon, quatre autres bornes ont été attaquées à la masse et le casque y a été dérobé. Ne subsistent sur ces monuments que le béton pulvérisé et des éclats aux alentours.

Il est à noter que les bornes situées à proximité des villages ou sur le territoire de ceux-ci, n’ont pas été touchées. Le bruit de la vandalisation aurait sans doute éveillé la suspicion des riverains.

Hier, c’était donc la stupeur et l’incompréhension dans le département pour les acteurs de la mémoire.

Dans quel but ces casques ont-ils été dérobés ? Pour la valeur du métal ? Ou pour la valeur symbolique liée à 14-18 ? Seule l’enquête pourra le déterminer.

Une enquête qui a été ouverte hier, elle concerne ces vols avec dégradations et est confiée à la communauté de brigades de gendarmerie de Verdun. Les constatations d’usage ont bien sûr été réalisées. Une plainte sera déposée en gendarmerie aujourd’hui par le conseil général de la Meuse.


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Je suis écoeuré, j'ose espérer que les malfrats qui ont fait ça seront sévèrement punis ...

Wandre (Belgique): 157 plaques en bronze volées au cimetière militaire, 125 000 euros de préjudice

125 000 euros. C'est le montant considérable du préjudice lié au vol de plaques commémoratives au cimetière militaire de Rabosée, sur les hauteurs de Wandre. Un chiffre que nous a révélé la Défense

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11-Novembre 2014: un drapeau saccagé et une plaque dérobée

Le 11-Novembre, à Trémel (22), a dignement commémoré le 100e anniversaire de la Grande Guerre. Un petit-fils de Poilu mort dans la Marne avait même fait le déplacement du Sud-Finistère et le drapeau flambant neuf des anciens combattants avait été fixé aux monuments aux morts... Jusqu'à ce que la maire, Thérèse Bourhis, constate que le drapeau a été enlevé, découpé et emporté. Lié ou pas, un autre emblème a été pris pour cible non loin de là, Plestin-les-Grèves. Pour la seconde fois, la plaque du Grand rocher à Saint-Efflam, commémorant la mort des résistants de l’Île Grande, a été dérobée aux alentours du 11-Novembre. Une plainte a été déposée à la gendarmerie par le président de l’Anacr

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la liste est longue la honte aussi on ne respecte plus rien pour certain !!!!!!

Tant que les auteurs de ces crimes, n'auront pas été durement châtrés, non châtiés, pardon, ça continuera, et encore et encore.
Tant que des imbéciles, excuseront ces crimes, au nom d'un pseudo humanisme de faux-cul, ça continuera,
Tant que des politicards se réjouieront, en privé, de voir des glorieux souvenirs militaires, souillés et volés,
Tant que...Allez j'arrête, sinon Xavier va me taper sur les doigts. Mais je n'en pense pas moins.

jcj

PS : ça n'a rien à voir avec ce que je viens d'écrire, mais sur mon écran, après le titre matériel-militaire.com, j'ai un bandeau qui apparaît, des super nanas en soutifs et en strings ! Ce serait la Redoute qui balance ça ! Il va falloir penser, comme en 1812, à Moscou, à prendre d'assaut la Redoute !

J'ai ouvert ce sujet, car de nouveaux outrages ont été perpétués ce 11-Novembre 2014 et j'y ai rajouté des post déjà existant sur le forum. Merci de rester modéré dans vos commentaires.

(JCJ, je te suis pour prendre d'assaut La Redoute )

bien sur Xavier nous comprenons mais tu peux entendre notre silence

Message reçu Xavier. Excuse mon ire, mais quand on touche au Bleu Blanc Rouge, sous toutes ses formes, je pars au quart de tour ! Et si nous, nous ne défendons pas ces belles Couleurs, qui le fera ?

jcj

Cela ne te concernait pas particulièrement JCJ, mais j'anticipais sur d'éventuels dérapages

Encore heureux que la tombe du Soldat inconnu est surveillée y piqueraient les plaques en bronze.

Moi, je serais préfet de police, je ferais surveiller les canons à l'entrée des Invalides. Sérieux !
Dans la cour, on en a déjà piqué un.
J'imagine ceux qui sont en Russie, devant le Kremlin !!! Sauf que là-bas, on rigole pas avec çà. Les voleurs risquent gros. Dans notre beau pays...

jcj

Certes il faut rester modéré, n'empêche qu'il y a de quoi hurler...
Pour en revenir à ce qu'à dit JCJ au dessus, le canon volé aux Invalides, n'a pas vraiment été volé....
Il a été chargé dans un camion, en pleine nuit avec un camion grue des pompiers de Paris, sous très haute surveillance.  Photos interdites destination inconnue.

pinpon87 a écrit:

Il a été chargé dans un camion, en pleine nuit avec un camion grue des pompiers de Paris, sous très haute surveillance.  Photos interdites destination inconnue.

Ca c'est un scoop ! As tu des sources ? Une plainte a pourtant bien été déposée

Oui en effet, une plainte a été déposée. Je n'ai plus la date en tête. mais j'étais dans l'équipage du camion grue. On a bien chargé qu'un seul canon dans le semi, peut être que quelqu'un d'autre en a profité pour en prendre un second...Ce n'est que quelques temps après, qu'on a appris le vol.... En quelque part cela nous à bien fait rire. Sauf mon adjudant qui était chef de bord...

Merci pour ces utiles précisions pinpon 87 !

jcj

Une précision s'impose, le fait relaté date des années 86 87. la pièce pesait plusieurs tonnes. Ceci n'ayant rien à voir avec le vol qui a eu lieu en mars 2011. J'oubliais, l'ordre est venu de l'EM par téléphone... Ce qui implique, si pas d'ordre de départ officiel, pas de compte rendu d'intervention....
Pour ce qui est de la plainte, oui bien sûre il y a eu plainte... Et pour quel résultat? Pas vu pas pris. Ensuite, un semi remorque et un camion grue qui manœuvre à 2 ou 3h00 du matin pour rentrer dans la cour des invalides, ça passe pas inaperçu, nous somme en plein cœur de Paris et quelque soit l'heure il y a du monde qui circule.... Les bruits de couloirs parlaient d'un cadeau pour un chef d'état étranger qui était en visite en France quelques jours avant. Mais ça ce n'est que la rumeur.
Voilà, c'est tout ce que je peux vous dire sur cet épisode.

En 2011 le canon volé aurai tenu dans un sac pour le transport d'un pieds de caméra de télévision.

Profanation du monument aux morts de Divonne les Bains (01)

DIVONNE-LES-BAINS:
Envolés le coq et l’aigle du monument aux morts !

Les anciens combattants de la ville de Divonne ont découvert que le coq gaulois terrassant l’aigle, tous deux juchés au sommet des deux colonnes cylindriques du monument aux morts, ont disparu…
Apparemment, les caméras de surveillance de la place ne livreront pas l’image des auteurs, les enregistrements étant effacés après quelques jours.
Le cénotaphe, érigé en pierre blanche du pays, œuvre du statuaire parisien François Clémençin, avait été livré en août 1923 et inauguré en septembre, sur l’emplacement d’une grande fontaine.
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