BREGUET 941

Bonjour, en faisant du rangement je suis tombé sur cette revue, je ne sais pas si j'ai le droit de toute la scanner, voici la couverture:

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1965, ya prescription pour le copyright et le secret défense ???!!!!!!

Un sacré zinc aussi, comme beaucoup de Bréguet, une petite révolution à l'époque

patmalet a écrit:

1965, ya prescription pour le copyright et le secret défense ???!!!!!!

Pour le copyright je ne sais pas, pour le secret défense : c'est plus proche d'une une brochure de pub, il n'y a rien de bien secret, quelques caractèristiques, quelques dessins et 3 photos de l'avion.

Pour qui, comme moi, l'a vu en démontration, années 60 et 70 :  un sacré engin !   Au vol pouvant être trés lent ( contre le vent, du quasi surplacve ! ) ou assez rapide ( 500 kms/h )

Et ses posés d'assault ! Nez le premier, en "piqué" avec arrondi alors qu'il pose la roue de nez la premi_re et s'écrase sur son train en genuflexion !    Impressionnant

Maisx nos budgets ont privilégié, un peu avant le Transall, lui fabriqué en grande série

Nos 4 ex de série minus ont laissé de bons souvenirs

Les canadiens et leurs Caribou n'avaient pas aussi performants !

Et pour les opérations COS: ils seraient encore up-to-date !

Comme beaucoup de réalisations françaises, très bon mais trop cher! rappelons que les 214 Transall construits étaient plus chers à l'achat que le C130 Hercules sorti à plus de 2200 exemplaires, l'A400 étant lui presque aussi cher qu'un Boeing C 17, mais, parait il, plus économique à l'utilisation sur 30 ans...Ce qui devrait inciter à une plus grande coopération internationale car les coûts des RD ne cessent de monter...pas facile, mais il n'y a pas que Boeing, nous louons souvent des Antonov!

Tout à fait...dire qu'on osait rire des russes il ya quelques années avec les Lada.

Ah les francais nombrilistes...

Bonjour

Les quatre Br 941 S ont été pris en compte par l'AA pendant une courte période, à la 62 ET de Reims.

En 1974, quelques mois avant leur retrait du service, j'ai eu l'occasion d'en voir un (le n° 4) sur le terrain en herbe de l'aéro-club de Guéblange-les-Dieuze (57). Il travaillait à cette occasion au profit du 13 RDP de Dieuze. Le lendemain de mes photos, il participait à la JPO du 13 RDP. Je me souviens de ses évolutions, parfaitement à l'aise sur le petit terrain, avec des décollages sur une toute petite partie de la piste en herbe, et des atterrissages avec un piqué impressionnant en entrée de piste.

Ca n'a pas été leur seule visite à Dieuze : je me souviens avoir vu, chez un commerçant de Dieuze membre de l'aéro-club, des photos où les quatre exemplaires existants se trouvaient tous ensemble à Guéblange-les-Dieuze...

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Christian

Sacré avion, j'aimerai bien le refaire en maquette.

Il y en a un exemplaire dans les réserves du musée de l'air. Il est en pleine décrépitude.

Il est à l'abri ou en plein air ?????

j'en avais vu un à la télé dans un reportage sur un parc d'attraction dans le sud de la France

Il est en plein air et vraiment dans un état misérable.

En plus, celui du musée est le n°4, celui de mes photos...

Celui du parc d'attraction a été récupéré en début d'année par les Ailes Anciennes Toulouse pour le remettre en état dans un futur plus ou moins proche....
Mais il est désormais sauvé

Photos de juillet 2015

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Louis Breguet imagine dès 1948 un appareil dont les caractéristiques et les performances devaient sortir du domaine conventionnel. Il crée la notion de « l’Avion à Décollage et Atterrissage Courts » (ADAC) ou STOL en anglais « Short Take-Off and Landing ». Il trouve la solution technique et invente l’aile soufflée, en dotant le prototype de volets à « persiennes » de grande surface pouvant s’abaisser jusqu’à un angle de 97°. Les moteurs entraînent des hélices surdimensionnées qui créent une composante de sustentation. Le fonctionnement des volets devant éviter tout risque de dissymétrie un vérin unique réalisé par Jacottet-Leduc s’impose. De même la synchronisation des hélices Ratier-Figeac doit être sans faille, même dans le cas d’une panne d’un des 4 turbopropulseurs Turboméca « Turmo II ». Hispano-Suiza met au point un système de transmission unique et souple, enfin pour annuler tout effet de couple des hélices, les moteurs intérieurs tournent dans le sens des aiguilles d’une montre, les extérieurs en sens inverse.

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Une commande de l'état démarre la série, mais celle-ci se réduira à quatre exemplaire tous utilisé par l'armée de l'air sur la base aérienne de Reims jusqu'au bout du potentiel en 1974.

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Très bonne photos.

Les perfo d'atterrissage étaient allucinantes! Ca fait presque mieux qu'un Pilatus PC-6!

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Les technologies créées n'ont pas été perdues, Le C-17 américain utilise notamment les dispositifs hypersustantateurs de voilure.

Il me semble que c'est le seul avion au monde a s'être posé a l'héliport de Paris-Issy les Moulineaux et en avoir redécollé

Oui il me semble me souvenir de cela.