Un photographe de guerre français tué en Syrie

La mort d'Olivier Voisin.

Dans la nuit de samedi 26 à dimanche 27 février 2013, le photographe reporter français, Olivier Voisin a succombé à ses blessures dans un hôpital d'Istanbul. Âgé de 38 ans, il a été grièvement blessé à la tête et au bras droit par des éclats d'obus, alors qu'il couvrait le conflit syrien auprès d'un groupe armé d'opposants dans la région d'Idlib, au nord du pays

Né en 1974 en Corée du Sud, il avait été adopté par une famille française. Ce photo-reporter free-lance collaborait avec de nombreux journaux français et internationaux. Armé de son appareil photo, il a couvert de nombreuses situations de conflit comme en Libye, en Haïti, en Somalie. Mais ses pas l'ont porté également dans des régions du monde comme le Brésil, le Kenya, la Corée du Sud ou bien encore les États-Unis.


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Une pensée pour lui et pour sa famille.

Oui, un bien dur métier que celui de reporter en temps de guerre. Je pense à Yves Debay.
Sincères condoléances.
J'ajouterais que, parfois, on peut se demander si les risques pris par ces reporters de l'ultime, sont bien mesurés, voire, à l'extrême, utiles. Risquer sa peau, oui, mais jusqu'où, pour quelques photos qui, de toutes façons, ne changeront pas beaucoup le cours des choses.
Bon, mais ça, c'est le journalisme, et il paraît que c'est une passion dont on ne guérit jamais, et que les gens du commun, comme moi, ne peuvent pas comprendre ! OK, je respecte et je me tais, mais je constate, quand même, qu'on peut y laisser sa vie...

jcj

Qu'il repose en paix, c'est une très triste nouvelle.

En effet, quand on voit le genre de reportage qui fonctionne dans la presse avec Voici, Gala, Closer, ..... on se demande quelle filière est la plus "intéressante" pour le photographe professionnel. Quelle filière est la moins dangereuse et plus rémunératrice.

Daneck

se ne sont pas vraiment des journalistes !!!!sincères condoléances a ces proches