cimetieres militaires et monte cassino : ligne gustav

je suis allé en vacances pres de chez mes parents
j'ai fait le tour de 3 cimetieres de la WW 2 autour du monte cassino.
le temps de je range mes phtoos, et j'en mettrai quelques une en ligne

voici déjà les pots de fleurs que j'ai croisé dans la ville de cassino

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Grazie mille Mattéo .

je commence par le cimetiere allemand

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l entré apres la longue montée
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ici ci dessous la vue à partir de cette colline, sur la droite au prolongement c est cassino et monte cassino, dont je suis sur la gauche du monastere en regardant vers le sud, au fond apres les montagnes qui sont sur la droite à 30km c est la mediterranée et donc l OUEST, cette partie del'italie c'est de la plaine entre les abruzzes ( derriere moi ) et ces montagnes. si je me souviens pour liberer ces montagnes entre la mer et ici c était l'armée française des goumiers marocains qui en avaient la tache .. et qui ont fait la razzia sur les italiennes.
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ici est inscrit qu'il y'a 20057 allemands enterrés, sur certaines tombes il ya 6 noms
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à l intérieur
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de l autre coté, les tuyas arbrisent ( fleurissent ce cimetiere, c est pas une vétation qui pousse dans cette région normalement )
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très joli, ça donne envi d'etre allemand, surtout quand on voit à quoi ressemble le cimetiere français.
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ici le plant des lieux
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ci dessous 229 soldats inconnus
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ça je ne sais pas ce que ça veut dire
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tout en haut il y'a une place avec ceci
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plus on s approche des drapeaux et plus les dalles ( pierres ) sont petites
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la derniere dalle ( pierre ) ( visiblement deux personnes )
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au bout ,et dessous les drapeaux , une lanterne qui à té posée en 1964
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les drapeaux, dont celui de droite que je connais pas
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des fleurs ! la famille se déplace encore jusqu'a ici.
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et ici , il me semble le plant en italie des cimetieres militaires allemands, si je traduit l allemands que je ne connais pas il y'a 602 lieux dans 21 provinces .
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Merci pour ce reportage.

de rien, la suite à venir
c est pourtant drole que dans cette région on ne voit rien de militaire ou de commémoratif

matteo69 a écrit:

de rien, la suite à venir
c est pourtant drole que dans cette région on ne voit rien de militaire ou de commémoratif

bonjour,les italiens faisant parti des forces de l'axe,ils préfèrent en général oublier ces sombres années de leur histoire.
merci en tout cas pour ce reportage.

...

Bonsoir,
Le pavillon bleu ciel à croix blanches dont Matteo69 ne connaît pas la signification est l'emblème du Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge e. V., Service pour l’entretien des sépultures militaires allemandes (SESMA), c'est une association humanitaire allemande reconnue d'utilité publique, fondée le 16 décembre 1919, veillant à l’entretien des sépultures militaires allemandes dans plus de 80 pays, son siège se situe à Kassel. Il est possible de se faire une idée complète de son activité en allant, par exemple sur : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
JM

Merci pour ce reportage très intéressant.

601RCR a écrit:

"très joli, ça donne envi d'etre allemand, surtout quand on voit à quoi ressemble le cimetiere français"

Que signfie cette phrase ?? celà voudrait-il dire que le cimetière militaire Français est à l'abandon, mal entretenu ou pas digne du sacrifice de nos soldats ??

déjà je suis pas arrivé à le trouver à croire qu'on à pas envi qu'on le trouve,,, j'ai trouvé l allemand, le polonais, et le britanique, et les souvenirs que j'ai d'il y'a quelques années, ne sont pas superbes, il fait plutot ancien cimetière que militaire de guerre, mais peut etre actuellement il à changé.
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papy06 a écrit:

matteo69 a écrit:

c est pourtant drole que dans cette région on ne voit rien de militaire ou de commémoratif

bonjour,les italiens faisant parti des forces de l'axe,ils préfèrent en général oublier ces sombres années de leur histoire.
merci en tout cas pour ce reportage.

bin non, les italiens dans leur passé n'aiment pas plus les allemands que nous, l'amée italienne à été de force avec les allemands un peu comme l'armée de vichy, et d'apres ce que j'ai entendu les allemands ça enmerdait plus les civils qu'autre chose, surtout quand il fallait de la main d'oeuvre..

j'ai vu des bouteilles de vin à l éfigie de mussolini ou hitler, mais plutot en souvenirs de vacances qu'en consomation, chez nous en france on est un peu trop imagé alors tout est bloqué.

très bien ces photos

alors pour la suite, j'ai voulu monter voir l'abbaye de monte cassino...
la route de montagne s'enroule sur une langueur monotone

donc sur la route bien plus bas et au début de la monté il y'a Rocca Janula, qui à l époque devait surement servir à quelque chose.
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plus bas , la ville de cassino, enfin l'ancienne ville est tout à gauche, c est vrai que c est un joli coin pour l observation de l'artillerie, sur la droite le cimetiere britanique environ un centimetre sous le point du point d exclamation et ça ressemble un peu à un grand terrain de foot ,,
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meme chose , mais en plus grand
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l entré de l'abbaye , visiblement ils sont en pleine activités
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ici la vraie entrée, de derniere photo, j'ai pas pu rentrer car j étais en short, et ici on ne rentre pas en short, jupe ou decolleté, bin ça me change de lyon ou à fourviere on peut y aller déguisé en pétasse, enfin j'ay retournerais une autre fois,
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donc par la suite, je me suis dirrié vers le cimetiere polonais qui est juste à 200 metres, photos plus tard

Mai 1944 : succès de la manœuvre française de débordement au sud de Cassino (bataille du Garigliano, opération Diadem)

Au printemps 1944, les Alliés opèrent un repositionnement de leurs unités en vue de leur nouvelle offensive. La VIIIe armée britannique et le Corps expéditionnaire français sont ainsi redéployés en secret. L'offensive alliée qui se prépare s'appuie sur les plans audacieux du général Juin, qui a réussi à imposer ses vues à l'état-major anglo-américain. Juin veut éviter toute nouvelle attaque frontale contre Cassino, dont les défenses ont été encore renforcées et d'où les troupes allemandes d'élite paraissent impossibles à déloger. C'est au contraire par la montagne, là où l'ennemi ne s'y attend pas, qu'il faut porter l'effort principal : à travers les monts Aurunci (ou Aurunces), au sud-ouest de Cassino, considérés comme « impénétrables aux armées », selon les Allemands. Ce plan doit permettre de couper les positions arrières de l'ennemi, enveloppant ainsi toute la ligne Gustav. Pour Juin, seul le CEF est capable de mener à bien cette opération, grâce à l'aptitude au combat en montagne des tirailleurs et des goumiers du général Guillaume, ainsi que leurs trains muletiers. Parallèlement, le plan prévoit une attaque du 2e corps polonais contre le monastère par le nord, tandis que le 13e corps britannique doit franchir le fleuve Rapido pour couper la route nationale et isoler la ville. Le 2e corps américain étant, quant à lui, chargé d'attaquer les lignes allemandes au sud des positions françaises.

Tout en acceptant ce plan, Anglais et Américains doutent néanmoins que les Français puissent réussir à accomplir la manœuvre de débordement qui permettrait d'ouvrir enfin les portes de Rome. Côté allemand, la date et les objectifs de cette offensive restent un mystère comme en témoigne l'envoi de leurs réserves vers Anzio, où ils prévoient une tentative de percée des Alliés. Une autre inconnue inquiète Kesselring : « savoir où et comment le CEF avec ses divisions entraînées pour la montagne et ses solides combattants marocains allait être engagé. »[4]

L'opération de rupture de la ligne Gustav est initialement confiée à la 2e division d'infanterie marocaine (2e DIM), « le bélier du CEF » selon l'expression de Juin, qui doit s'emparer pour cette mission des monts Faito et Majo (ou Maio). L'offensive générale des Alliés se déclenche le soir du 11 mai 1944, à 23 heures, sur l'ensemble du front italien. Une intense préparation d'artillerie de 2 000 canons précède l'attaque. Mais dans le secteur de la 2e DIM ce bombardement n'arrose que les crêtes, sans détruire le dispositif de défense allemand (blockhaus, barbelés, mines…), qui sillonne les pentes que doivent gravir les tirailleurs marocains avant de pouvoir s'emparer des sommets. Dans les autres secteurs d'attaque du CEF, comme celui de la 4e division marocaine de montagne (4e DMM), aucune préparation d'artillerie n'a lieu. Cet assaut va s'avérer redoutable. Les régiments de la 2e DIM se lancent ainsi dans une attaque de nuit aux combats souvent confus et très meurtriers, mais la ligne Gustav tient toujours. Juin décide la reprise de l'offensive pour la nuit suivante, après une préparation d'artillerie plus importante et mieux ciblée. Très tôt dans la matinée du 13 mai, c'est la ruée des tirailleurs marocains sur les positions allemandes, ravagées par le « rouleau de feu » des canons français, qui finissent par céder. La prise du mont Majo par les troupes marocaines de la 2e DIM est saluée par un drapeau français de 30 m² hissé à son sommet (940 mètres) et visible à des kilomètres à la ronde, par les troupes du CEF comme par les Allemands.

L'exploitation est maintenant possible vers les monts Aurunci puis, plus à l'ouest, les monts Lepini. C'est la 4e DMM et les trois Groupes de Tabors Marocains, formant le corps de montagne du CEF, qui s'en chargent dès le 14 mai, à « un train d'enfer ». « Les Français avancent si rapidement, que les communiqués ne peuvent suivre leur rythme », rapporte un journaliste américain[5]. Suite à cet assaut des goumiers marocains dans les monts Aurunci, les Britanniques prirent l'habitude de qualifier toute attaque audacieuse de « goumisation »[6]. Les combattants marocains prennent par la suite le mont Fammera (1 175 mètres) et le mont Revole (1 307 mètres).

Parallèlement, le 4e régiment de spahis marocains (4e RSM) incorporé temporairement à la 3e DIA œuvre à la prise de Castelforte, qui ouvre la route d'Ausonia dans la vallée de l'Ausente ; ce qui permet de déboucher sur la vallée du Liri, au sud-ouest de Cassino, derrière les lignes allemandes. De son côté, le 3e régiment de spahis marocains (3e RSM), mis provisoirement à la disposition de la 1re division de la France libre (1re DFL), participe au mouvement général de cette division qui s'engage dans la haute vallée du Liri via San Apollinare, en débordant également Cassino par le sud.

Tandis qu'une attaque aérienne détruit le quartier général de la Xe armée allemande, l'avancée du CEF, tant en montagne que dans les vallées, rompt donc le dispositif défensif allemand de la ligne Gustav et facilite la progression des Britanniques et des Américains. Ces derniers atteignent ainsi rapidement Spigno. Le 17 mai 1944, Kesselring ordonne à ses troupes de laisser Cassin de côté, de crainte de se voir enveloppé par la manœuvre française. Le même jour, la route nationale est coupée par le 13e corps, et les Polonais du 2e corps polonais du général Anders lancent l'assaut sur le monastère, qui tombe le 18. Les troupes polonaises hissent leur drapeau sur le monastère en ruine.

Les Alliés ont perdu environ 115 000 hommes (tués et blessés), et les Allemands 60 000. Le 19 mai, Kesselring écrit « Les Français et surtout les Marocains ont combattu avec furie et exploité chaque succès en concentrant immédiatement toutes les forces disponibles sur les points qui faiblissaient »[7].

Le 20 mai, les Allemands - qui battent en retraite - voient leur situation s'aggraver : le 23, la percée des troupes alliées les encercle dans Anzio. Le 26 mai, spahis et tirailleurs marocains s'emparent de la ville de Pastena, tandis que la 3e DIA occupe la localité de San Giovanni, après une lutte très violente et le plus grand combat de chars de la campagne d'Italie, au cours duquel se sont illustrés les tankistes français. La bataille du Garigliano est terminée, l'ensemble des monts Aurunci est alors aux mains de l'armée française, qui a réussi où ses alliés avaient échoué durant des mois : faire sauter le verrou de Cassino et ouvrir la route de Rome. Le 4 juin 1944, la capitale italienne est libérée. Le colonel allemand Böhmler, l'un des défenseurs de Cassino, confie dans ses mémoires : « La grande surprise fut l'attitude au combat du Corps expéditionnaire français. C'est Juin qui, en s'emparant du mont Majo et en faisant irruption dans la vallée du Liri, a réduit en miettes la porte de Rome. ». Le 29 mai, Kesselring note dans son rapport quotidien : « Spécialement remarquable est la grande aptitude tout terrain des troupes marocaines, qui franchissent même les terrains réputés impraticables, avec leurs armes lourdes chargées sur des mulets, et qui essaient toujours de déborder nos positions par des manœuvres et de percer par derrière »[8]. La plupart des analystes militaires considèrent la manœuvre des goumiers comme la victoire critique qui a finalement ouvert la route de Rome aux alliés[9].

Après la libération de Rome, les Alliés continuent leur avancée en direction du nord de l'Italie avant de s'embourber de nouveau, au cours de l'automne 1944, face à une nouvelle ligne de défense allemande, la ligne gothique, au nord du fleuve Arno. Auparavant, plusieurs de leurs unités, dont celles du CEF, sont retirées d'Italie durant l'été pour participer à l'opération Anvil : le débarquement allié qui se prépare en Provence, programmé le 15 août 1944. Celui-ci constitue le deuxième acte de la priorité stratégique anglo-américaine définie en 1943 pour le front Ouest, après le débarquement du 6 juin 1944. Malgré l'intensité des combats pour s'emparer de Cassino, le courage et les sacrifices des troupes alliées engagées dans cette bataille, les exploits de l'armée française permettant une libération de Rome fort prometteuse, la campagne d'Italie reste donc reléguée à un rôle secondaire : « L'une des tragédies de la campagne d'Italie fut que le triomphe des armées alliées coïncida avec le début du débarquement en Normandie »[10]. Suite au retrait du CEF d'Italie, le général Clarke dans une lettre au général Juin soulignera « combien la part vitale prise par les troupes françaises de la Ve Armée pendant toute la campagne d'Italie contre l'ennemi commun a été universellement reconnue. »[11].

Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



Merci encore pour ce reportage photos.
Cordialement

Porfolio ...

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Source et à lire : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


A lire : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



Cordialement

en direction du cimetiere polonais qui est presque au pied de l abbaye de monte cassino.

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depuis toujours j' ai vu des autobus qui viennent de pologne pour venir voir leur défuns anciens combattant de famille etc
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carte de la pologne avant la 2eme guerre [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

le general qui commandait l'armée polonaise à monte cassino; il à pas un nom bien polonais et à sa mort s est fait enterrer à l'entrée de ce même cimetiere
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les lieux de bombats dans le secteur, comme quoi il fallait avoir le poste le plus haut ,
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inauguration en 1946, et les restes de l'abbaye
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histoire du 2eme corps polonais
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1051morts, c est drole car dans le cimetière allemand il y'en à pres de 20000 mais on à pas l'impression de la différence.
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hallergique au tuyas et cypres ? pas facile la traversée
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voici la suite
donc au bout de l'allée des arbres allergiques : le portail
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donc le cimetiere polonais vu du montecassino ( c st pas moi qui à pris la photo, mais j'ai pris la photo de la photo ).
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juste apres le portail
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ici un polonais, on voit des colliers et des cailllous, c est pas trop occidental et ça montre qu'ils ont plus de visite que les autres
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ici des soldats juifs ,, je sais pas si on disait israelites avant , mais je pense pas
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ici je me suis retourné
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ici un polonais né à chicago et décédé ici
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sur cette photo les croix ortodoxes il me semble, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

ici je me suis encore retourné , sur la droite les montagnes au fond ça montre que l'italie à 30km de la mer c est déjà la haute montagne ,, c est aussi la direction du cimetiere allemand que l'on à vu au début
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voici redescendu en bas, ici sous cette dalle repose le general ANDERS, donc celui qui à dirigé cette division, il à donc la meilleurre place , et l'on peut constater comment le grade apporte une grosse quantité de fleurs , en regardant de plus pres on voit qu'il est mort en 1970 , il à peut etre chois d etre enterré ici ..
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pour ceux qui n'ont pas remarqué, toutes ces photos depuis le début sont faites avec un super grand angle de 11mm équivalent à 17.5mm en format 35 ... un bon choix pour que tout puisse rentrer dans une photo et donner un peu d espace et de profondeur

très bien très émouvant

je rentre d'alsace
j'ai fait une grande ballade au travers des forts de lignes magino, c est à voir
j'ai profité de la journée portes ouvertes au 1er RHC pour faire le détour par la haut

Merci pou ce très intéressant reportage.
Il est dommage que l'on ne puisse pas mettre de mules comme "pot de fleur".
fetnat52

en creusant un peu on peut bien y trouver un OS de mule..
quoi qu'il faudrait y faire un saut sur les lieux de combats avec un detecteur de métaux.
puisque ces lieux de combats ne sont pas forcément des coins de passage, et qu'en italie les gens ne s'amusent pas avec le passé, il devrait pouvoir y avoir des belles choses sous terre

bon, alors la suite et la fin, donc le cimetiere britanique

ici l entré
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encore l entrée, mais dedans
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ici à l intérieur du machin carré , deux plaques pour comméorer, mais qui parle que de président et de bla bla et de commonwealth ( je sais pas comment ça s écrit ). notez qu'au fond on apperçoit les belles montagnes sanglantes ..
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me suis tourné vers le cimetiere et fait une photo
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de l autre coté de la grosse dalle ça donne ça
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ici des britaniques ,, mais en haut de la colline on apperçoit l abbaye de mone cassino
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ici ce sont des tombes en restauration, les tombes de soldats indiens ( de l INDE ) qui à l époque étaient colonisés par les anglais , il sagit du 5th royal gurkha rifle.
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lorsque je vois ces tombes en restauration, je me demande quelle est la diffference entre une tombe qui se fait retaper et une qui est profanée , d un coté pourquoi toujours vouloir moderniser un ncien monument, ou souvenir qui est dans so jus ?

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voici d'autres photos, lol, avec un peu de retard :

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je vais voir si j'en ai pas d'autres qui trainent si ça vous interesse

ici on se rend compte de la tristesse de la guerre
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Merci pour ces photos.
Quelques remarques sur certains commentaires.
Les Français n'ont pas combattu à Cassino, il n'est donc pas étonnant de ne pas trouver de cimetière. En revanche, comme l'a écrit Walker, c'est grâce à leur action de contournement que les Allemands ont du quitter la position. Les Alliés n'ont donc jamais conquis la position en dépit de pertes très lourdes.
J'ai visité le cimetière polonais et il est en effet très impressionnant. Le général commandant la brigade est enterré au milieu de ses hommes tombés durant les combats.

Les Italiens n'étaient plus vraiment alliés des Allemands quand les Anglo-Américains ont débarqué en Italie. Mussolini avait même été capturé avant d'être libéré par les commandos de Skorzeny et "remis au pouvoir" par Hitler.

Nos cimetières militaires sont généralement moins bien entretenus que ceux des Allemands, Anglais et Américains. C'est vrai même en France. Les budgets manquent, c'est malheureusement aussi simple. Mais ceux que j'avais vus en Italie (Venafor et Rome) étaient plutôt en bon état à l'époque.

Olivier

si ça y est, j'ai trouvé le cimetière français, il ont combattu 15km avant cassino pour la prise de venafro justement et san pietro

j'ai fait quelques photos, je les mettrai un jour

en fait moi il ne m'impressionne pas le cimetiere polonais avec ses 1000morts, il y fait chaud comme c est de la pierre, on sent bien que le communisme c est dur lol.
le cimetiere britanique je ne sais pas combien il à de morts, celui français en à 5000 je crois, et celui allemand environ 20000