JEAN LOUIS MARTINEZ un ecrivain ,un dessinateur ,un homme pas comme les autres
sur ce kizoa j'ai rencontré un ou deux problemes au montage ,il arrive qu'internet me joue des tours
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]j'ai une rubrique dans un de mes forums ou je m'amuse à créer un timbre aussi ?
voici son dernier poeme
Parce que ce soir j'ai besoin d'accuser, texte et dessin de mon dernier livre "le silence de la mémoire" à retrouver sur
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J’accuse « ceux qui se prétendent grands, les menteurs »Tu as déraciné mes frères d’armes, enterré leurs étendards et détruit notre grande armée
Tu les as bafoués, pas écoutés, tu les as dissous pour mieux te gaver
« J’accuse », tu as profité de leur engagement, leur honneur, leur bonté
Tu as fait fi de tes policiers, en les mal-payants, en les suicidant, en les ignorants
Tu as mis à leur tête des dictateurs, des dé-constructeurs, arrogants et méprisants
Tu les as fait haïr du peuple, depuis ils sont mal perçus, tu les as détruits, bandes de mécréants
« J’accuse », tu as profité de leur abnégation, leur honneur en les zappant
Tu t’es servi de tes pompiers, pressés comme de vulgaire citron, ponctionnés, essorés
Les utilisant à tes souhaits, pourquoi ? Pour te faire mousser, pour jouer
Quand ils tombent que fais-tu ? Un petit discours bien préparé, un copier-coller
« J’accuse », tu t’es servi d’eux pour ton panache désuet et mort-né
Tu n’as pas entendu dans tes oreilles sélectives, la plainte et le cri des soignants
Par mépris, arrogance, on n’en fait quoi maintenant ?
Tu es tout petit à présent, mais que nenni, tu te la joues en Winner, en gagnant
« J’accuse », ces mécréants qui se prennent tous pour des grands
Mais attention, à la fin, quand tu devras rendre des comptes
Il risque la patrie brûlée, par tes méprisables décomptes
Tu fuis toujours et donne en permanence de faux arguments
Menteur, je t’accuse, j’accuse tes mots techniques qui nous embrouillent, tu nous mens
Tu fais payer à toutes nos institutions, la dette de la France
Pour te la péter, pour prouver ton passage en CDD, pour assouvir ton rêve d’enfance
Sans scrupule, stoïque, sans sourcilier en toute insignifiance
« J’accuse », car un jour, pas assez de militaires pour défendre ta patrie
Une folie, bientôt l’IED se retrouvera sur les trottoirs de Paris
« J’accuse », car un jour le pompier ne sera plus là pour sauver et secourir ton pays
Ta cathédrale, le peuple et tes forêts, ta propre sécurité, ton Paris
« J’accuse », car un jour le policier n’aura pas le choix que de laisser cramer
Les cités, les voitures, le drapeau, ignorer les » niques » la France, que tu as laissé s’inciviliser
« J’accuse », car un jour tu ne retrouveras plus un soignant pour te soigner
Pour sauver ta famille, tes proches et tes enfants gâtés
Maintenant, en pauvre petit gamin effronté, tu te retrouves étonné
France, vos politiques détruisent les représentants de notre devise « Liberté, Egalité, Fraternité »
Qui sont les garants de l’abnégation, du courage, de l’honneur, tous ces mots tu les détruits
Tu leur envoies au visage, une médiocrité de ton budget, tu les punis
En leur donnant des miettes, des pécores, ce ne sont pas des mendiants, ils œuvrent pour ton pays
Alors, monde politique continue à foutre ton bordel et mettre ta pagaille
N’oublie pas tout ce monde que tu railles
Que tu bafoues, que tu blesses au plus profond de leurs entrailles
Ce monde, un jour descendra sur ton trottoir, te tombera dessus
Pour te mettre une raclée et te botter le cul
Martinez