Bonjour
Je n'ose pas imaginer que nos vaillants militaires puissent manquer d'inspiration mais il faut bien constater que pour un engin récent comme le vbci nous avons quand même un nombre assez étonnant de doublons :
AUSTERLITZ : le 6094-0027 et le 6104-0023
GERGOVIE : le 6094-0033 et le 6104-0043
RESISTANCE AUVERGNE 1944 : le 6094-0045 et le 6104-0077 + le 6134-0094 dénommé RESISTANCE AUVERGNE sans millésime + le 6094-0076 AUVERGNE
YPRES 1914 : le 6094-0046 et le 6104-0029
CHEVALIER D'ASSAS 1760 : le 6094-0069 et le 6104-0075
ARCOLE 1796 : le 6094-0099, le 6124-0046 et le 6134-0021 !
RESISTANCE BOURGOGNE 1944 : le 6134-0008 et le 6134-0023
VILLATZA 1809 : le 6094-0024 et le 6104-0062
Le 6094-0056 DENAIN 1712 est devenu le NEERWINDEN 1693
Je ne dispose pas de vues de tous les engins, ce constat se base sur un petit échantillonnage mais amène à se poser la question suivante.
Lorsque qu'un deuxième engin est baptisé du même nom, le premier est-il rebaptisé ou avons nous un doublon ?
L'identification d'un engin devient impossible au seul vu du nom, seule l'immatriculation fait foi.
Sans oublier les orthographes hasardeuses : le CBA WARINGHEM devenu CBA WARINGHEIM. On sait maintenant où est passé le I manquant au VIEL ARMAND.
Au 16e RCh le CBA-CHENELE 6134-0010 devient CBA-CHENEBLE...
Un vbpc immatriculé 6129-0026 ?
En langage troupier on dirait que c'est un peu le bordel.