14-11-2015 !

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Je pense qu'il faut également associer a cet hommage les différents services de secours qui ont travaillé au plus près des événements. Parfois dans le champ de tir des terroristes. Même si les cameras ont été maintenues a une bonne distance des événements, j'ai été particulièrement impressionné par l'apparent sang-froid de tous ces intervenants : pas d'image de personnes courant et criant dans tous les sens. Très certainement le résultat de nombreux exercices. Il est plus que probable que le professionnalisme, la rapidité d'intervention et le dévouement de toutes ces équipes auront évité que le bilan final n'augmente pas de manière encore plus tragique.

CHALLENGES - 15/11/2015.
INTERVIEW Thomas Loeb, responsable médical adjoint du Samu 92 à Garches, raconte.


Les huit Samu d’Ile-de-France se sont réunis vendredi pour un exercice lié à une simulation d’attentat à Paris. Quel en était l’objet exactement?

Nous nous sommes réunis dans la salle de coordination du Samu de la zone de défense Ile-de-France, ce matin-là, pour travailler sur l’hypothèse d’un groupe armé qui commettait des attentats à plusieurs endroits dans Paris. C’est ce que nous appelons un exercice sur table pour réfléchir à la coordination des moyens.

C’est une coïncidence sidérante. Etait-ce la première que vous travailliez précisément sur ce scénario?

Non, c’est une hypothèse de travail très claire depuis des mois, l’idée de plusieurs attaques simultanées. Dans les années 2000, nous travaillions plutôt sur les bombes sales et les risques que l’on appelle NRBC (Nucléraires, Radiologiques, Biologiques, Chimiques). Puis, on a évolué avec un risque plus simple à mettre en œuvre, des blessés par balles ou par explosion.

Les mots ne peuvent pas exprimer ce genre d'évènements
Par contre , en prenant tous le évènements, qui ont eu lieu depuis le vendredi matin, fermeture des frontières, entraînement le matin même des Samu, etc.
J'espère que l'on ne nous pas fait le coup d'un nouvel Pearl Harbor. Le discours du président, m'y a fait penser.
Cela n'engage que moi.

Non Papy.

Mais depuis janvier ce type d'exercice a été mainte fois renouvelé par tous :
Réagir à une prise d'otage multiple ou des attentats multiples.
Les infos ont parus dans la presse mais en 4éme de couverture...

Pour ce qui concerne la "réaction" les plans d'opérations étaient prêts, il n'y a qu'à voir la vitesse de déploiement....on a déroulé un plan.

Quoique nous en pensions parfois, nous sommes un pays organisé.
Avec des forces de l'ordre et des services de secours !

Idem pour les bombardements sur Raqqa ce soir.
On a pas ciblé les objectifs samedi matin....

Nous avons une Armée, même s'i lui manque des moyens.

Les comiques sont aussi des gens sérieux !

Jean-Yves Lafesse - Page Facebook Officiel

Samedi 14/11, à 13:01 ·
.
"Il faut saluer très fort encore le courage des policiers qui s'avancent, face à ces bêtes de la nuit.
Ils y vont le corps en avant, le coeur en avant. Eux aussi sont des pères de famille, mariés ou pas, avec des salaires très moyens, des conditions de travail déplorables et pourtant ils y vont.
Le courage de ces hommes a permis de sauver de nombreuses vies hier soir."

Vidéo intervention police au Bataclan
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Comme en Janvier ILS font face avec leurs moyens (ici fusil à pompe ?) face à des FA au calibre 7.62 !

Au Bataclan un commissaire et son chauffeur sont entrés après les terroristes, ils ont ouvert le feu et tué l'un d'entre eux avant de se replier pris à partie par les terroristes restants.

Même les supporter en évacuant le Stade France :
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Que Dieu vienne en aide aux blessés et accueille les innocents qui viennent à lui suite à ces évènements tragiques.
J'étais devant la télé quand ils ont montré les premières images ... j'en ai pas dormi de la nuit.
Pas de mot
C'est horrible

Attentats à Paris. "On s'est tout simplement invité en enfer" (policier)


Un commissaire de la brigade anticriminalité de Paris (BAC 75) et son chauffeur ont été les premiers à pénétrer dans le Bataclan, réussissant à abattre un des jihadistes.

« Ce commissaire de police accompagné de son chauffeur a été un des premiers à rentrer au Bataclan », a expliqué lundi sur France Inter Céline Berthon, secrétaire générale adjointe du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN).

« Des personnels tous deux extrêmement expérimentés et qui, dans les conditions où ils ont pu, ont fait usage de leurs armes et ont touché un des assaillants, en tuant un », a-t-elle raconté.



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Attentat à Paris: Comment les policiers de la BRI ont sauvé des otages au Bataclan


RECIT Vendredi soir, les terroristes ont utilisé des otages pour tenir les forces d’intervention à distance dans la salle de spectacle



Il est 22h15, vendredi soir, quand la colonne de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la police judiciaire de Paris arrive au pied du Bataclan. Un commissaire de la BAC 75N vient d’abattre un terroriste dans la salle de concert avant de se replier. En entrant au rez-de-chaussée, les hommes de l’unité d’élite de la préfecture de police font face à un « silence de mort ».

Pas un seul coup de feu. Ni de trace des terroristes. D’ailleurs, les policiers de la BRI croient, c’est en tout cas ce qu’on leur a dit, que les auteurs des tirs sont en fuite. Au sol, dans la fosse, des centaines de personnes. Grièvement blessées ou déjà mortes. A la vue des policiers, par petites grappes, les rescapés se lèvent et sortent, « doucement, du bout des lèvres », raconte à 20 Minutes un policier. L’opération d’exfiltration durera plusieurs dizaines de minutes. Un temps nécessaire pour sécuriser le rez-de-chaussée et évacuer les survivants.






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Très résistant le bouclier !!!

Attentats à Paris. L’énigme du Stade de France


Les trois kamikazes du Stade de France auraient pu provoquer un carnage, à l’entrée, à la sortie ou à l’intérieur de l’enceinte. Pourquoi ne l'ont-ils pas fait ?

Si les attentats commis au cœur de Paris, vendredi soir, sont effrayants d’organisation et de sang-froid, les trois explosions qui ont eu lieu aux abords du Stade de France suscitent bien des questions aux enquêteurs.

Il n’est pas question de diminuer la mort tragique de Manuel Colaco Dias, 63 ans, un Portugais fan de foot qui vivait depuis 45 ans à Paris, tué lorsqu’un des assaillants a déclenché sa ceinture d’explosifs près de la porte D du stade. Mais force est de reconnaître que les trois kamikazes qui ont opéré à Saint-Denis auraient pu considérablement alourdir le bilan de leurs attentats.

Enquêteurs et experts tentent de comprendre pourquoi, alors qu'ils auraient pu provoquer un carnage et une panique mortelle, tous se sont fait sauter dans des lieux isolés.



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Attentats à Paris. "On proposait de nous évacuer pour 100€"


Charlie Leconte était au stade de France, vendredi soir. L'Ornais raconte la galère pour quitter les lieux après les attentats. Et les abus de certains Parisiens.

Entre guillemets

Charlie Leconte, 30 ans, résidant à Champeaux-sur-Sarthe, était au match de foot France-Allemagne vendredi soir, avec sa compagne.



"Ces billets pour le match, c'était un cadeau d'anniversaire de ma chérie, pour mes 30 ans. Je suis un passionné de foot, moi-même joueur dans le club de Mortagne-au-Perche. On est monté en région parisienne en voiture et on s'est garé au pied d'une station RER pour rejoindre ensuite le Stade de France. Quand on est arrivé, les hymnes commençaient à être chantés. L'ambiance était bonne dans les tribunes.




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Le cliché continue d'être massivement diffusé

Photo sanglante du Bataclan: Facebook suscite l’incompréhension des Français


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Attentats à Paris. Le gouvernement craint des attaques aux gaz toxiques
Le gouvernement français n'exclut pas des attaques aux gaz neurotoxiques. Le service de santé des armées va approvisionner les hôpitaux en antidote avant la COP21.


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Un décret paru ce lundi au Journal officiel demande au Service des Armées d’approvisionner les professionnels de santé des services d’aide médicale urgente en sulfate d’atropine.

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JORF n°0265 du 15 novembre 2015 page 21381
texte n° 8
ARRETE
Arrêté du 14 novembre 2015 autorisant l'utilisation de sulfate d'atropine, solution injectable 40 mg/20 mL PCA antidote des neurotoxiques organophosphorés

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Le même que l'on retrouve dans les seringues auto injectables de la tenue NRBC.

pmo, je pense que tu as connu la Modafinil et la Pyridostigmine.
Cette dernière a été distribuée à nos militaires au début des années 90 dans le Golf et l'Ex-Yougoslavie.

En résumé :

Pour les civils, le Modafinil est prescrit pour les patients ayants des troubles de narcolepsie et de l'hypersomnie idiopathique.

Pour les militaires, ce médicament a été distribué pour éviter la fatigue chez les militaires et en faire des guerriers, en raison de son caractère puissant.


La Pyridostigmine, pour les militaires, c'est un prétraitement contre les intoxications par les neurotoxiques.

La Pyridostigmine pour les civils, est principalement utilisée pour lutter contre la constipation par atonie intestinale sévère et comme traitement symptomatique de la myasthénie.

Le bromure de pyridostigmine est commercialisé sous le nom de Mestinon (60 mg de bromure de pyridostigmine).

Elle a également fait l'objet d'une utilisation préventive contre les gaz de combat organo-phosphorés (Soman), impliquant un syndrome de la guerre du Golfe, selon le degré d'exposition à la substance.

Sur ordre de leurs supérieurs, les militaires ont administrés des cachets, antidote à l'arme chimique. Un médicament alors non autorisé est donné à 9 000 soldats français, selon les aveux tardifs du général Roquejoffre à l'Assemblée Nationale, devant la mission d'information parlementaire sur le syndrome du Golfe (désormais élargi aux Balkans).



Kit NRBC
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Modafinil.......

pmo a écrit:

Modafinil.......

Surnommé "Le Virgyl ou Virgil, la pilule contre le sommeil", est-ce bien ça ?